L'analyse politique et l’economie: n’oublie pas les facteurs moins-que-logiques

June 1, 2022
Jordan Simmons

C'est image n’est pas mon image. C’est la de Ömer Faruk Yıldız. On trouve son autre travail à https://www.pexels.com/@omer-faruk-yildiz-42034823.

Dans mes études de la politique et l’histoire d'Amérique Latine, je lis toujours que l'état économique motive l’opinion générale. Par exemple, une publication a prétendu que le phénomène de la “vague rose"— quand tous les présidents élus dans l'Amérique Latine sont devenus présidents de gauche — a été le résultat des électeurs mécontents avec la situation économique (Des présidents de droite gouvernaient jusqu'à ce moment). Mais je pense que cette explication n’est pas suffisante. C’est vrai que la situation économique à cette époque était mauvaise. L’Inflation dans beaucoup des pays était grande, mais n'était pas la seule raison pour la “vague rouge.” L'Amérique latine est une région qui a récemment subi une vague de changements politiques vers la gauche. Par contre, ce n'est pas comme s'il y avait une apparition de manifestations du côté gauche mais c'est que celles-ci furent réprimées par les dictatures militaires (souvent du côté politique de droite) dans les années 1970 et 1980. De plus, la majorité des dictateurs de cette époque sont associés avec les partis de droite. Alors, la popularité de présidents aile gauche ce n’est pas surprenant. Bref, beaucoup d'autres facteurs à part l'économie déterminent la popularité des personnages politiques. 

Mais cette situation n'est pas la seule où des analystes privilégient l'économie aux autres facteurs. L'abondance de sanctions placées par les États-Unis sur la Turquie, la Russie, l’Iran et la Chine démontre la tendance à penser seulement à l'économie quand on crée la politique (avec des affaires étrangères). Mais je doute de cette perception de l’importance de l'économie. Je suis d’accord que l'économie détermine le changement ou continuité politique si la situation économique est grave mais je pense que la même idée est absurde si l'économie change peu et lentement ou ses changements n’affectent beaucoup les peuples. Parce que les électeurs ne sentent pas ces petits changements économiques dans leurs vies quotidiennes, d'autres facteurs deviennent plus importants pour déterminer la popularité des leaders. Des facteurs plus émotionnels comme le nationalisme, l'idéologie politique, ou la religion déterminent un vote, s’il n'y a pas une crise économique.

A mon avis, avec la chute de l’Union Sovietique important plus le coût des programmes sociales que le raisonnement a l'adoption. Après tout, l'idéologie qui privilégie plus la moralité du monde de travail, le socialisme, est échouée et le système qui privilégie la poursuite incessante de richesse individuelle, a gagné la guerre froide. Des gens du peuple vivraient mieux sur le système du capitalisme, donc suel importe la politique économique. Mais avec cette idée, tous les autres facteurs (la religion, l'idéologie, la moralité) n'importent pas plus que ça. Cependant, dans ce contexte, les émotions fortes et l'idéologie, que ne sont pas comme logique que l'économie importent beaucoup; parfois plus. Un exemple est la capacité du nationalisme à gagner le soutien des peuples plus que l'état de l'économie. En Russie, Vladimir Putin continue à avoir le soutien des peuples malgré l'état de l'économie. Depuis 2013 le Produit Intérieur Brut de la Russie a baissé de $2292.47 milliards à $1687.45 milliards en 2019. Au même temps, le PIB par habitant per capita a baissé de $15.975 à $11.498. Même si la situation économique en Russie appauvrit beaucoup de personnes et familles, la popularité de Putin continue à augmenter de 63% en 2013 à 66% en 2019. L'état de l'économie n’est pas le seul facteur qui détermine le vote. De plus, beaucoup d'analysts expliquent le soutien fort de Putin comme étant un resultat de sa politique nationaliste et son defi de l’Ouest. Il discute régulièrement de l’Ouest et de son influence gauchiste, qui empoisonne les valeurs russes (Orthodoxes-chrétiens). En fait, sa cote de popularité a augmenté quand il a envahi la Georgie, la Crimée, et l’Ukraine. L'analyse explique ça comme les électeurs russes approuver de ses actions comme une projection d’une “Russie forte”. Mais Putin n’est pas le seul politicien qui maintient sa popularité à travers le nationalisme. Recep Tayyip Erdoğan en Turquie gagne son soutien de sa géopolitique “Neo-Ottoman” et son appui de l’identité musulmane pour la nation. Jusqu'en 2013 quand sa répression violente aux protestations “Gezi Park,” (protestations antigouvernemental) l'économie turque a augmenté. Mais depuis 2013 l'économie a diminué de $957.78 milliards  à $761.43 milliards en 2019 et le PIB par habitant a baissé de $12.615 a $9.127. L’hyperinflation qui menace Erdogan n’est pas nouvelle; le prix des mêmes produits a augmenté 92.34% de 2013 à 2019, avant cette époque de hyperinflation, mais après neuf ans,  le Président bénéficie encore de l’appui de la majorité de pays.

Beaucoup de recherches discutent de l'influence économique sur les décisions politiques, mais si enfoque seulement en ce facteur, deviendra distrait de l’influence des facteurs moins-que-logiques comme le nationalisme. C’est passé parce que ces idées (le nationalisme, la religion. l'idéologie) sont plus difficiles à mesurer et calculer. Des analystes utilisent des chiffres et calculs pour apporter des conclusions scientifiques, plus crédibles qu'une théorie. Quoique compliquées, est plus facile à expliquer, une modification en popularité politique avec des chiffres économiques, que des théories sur les effets de nationalisme. Après tout, les nombres doivent offrir une explication rationnelle et sans biais. Ça et l'idée que des gens faisant la plus attention à l'économie, créent l'indifférence aux nationalisme parmi des analystes. Nous ne devons pas oublier la puissance du nationalisme, la religion, ou l'idéologie quand on évalue des affaires internationales. De plus, il est nécessaire de mettre fin à la dépendance excessive en expliquant ces mêmes situations avec des chiffres économiques.